Chroniques sur la crise climatique, le populisme et autres fins du monde
Préface de Frédéric et Ève Bérard.
Postface de Salomé Corbo.
En ce début du 21e siècle, les fins du monde sont nombreuses, diverses, empruntent la forme de l’apocalypse climatique, du populisme décomplexé ou du barbarisme médiatique.
Recueil de chroniques publiées au cours des deux dernières années, La Terre est une poubelle en feu se veut un cri d’alarme, une complainte tragique dans laquelle l’accumulation de prophéties dantesques devient un électrochoc contre l’apathie. Frédéric Bérard y jette un regard indigné sur les élites, qu’elle soit politique, économique ou médiatique, et dénonce la passivité qui caractérise notre époque. Si Frédéric Bérard se déclare pessimiste quant à la suite du monde, il refuse d’opter pour la résignation et de taire la duplicité des élus, la violation des droits fondamentaux ou l’aveuglement volontaire face aux enjeux environnementaux.
En introduction, deux lettres que s’échangent l’auteur et Ève, sa fille, viennent insister sur le fait que les générations, plutôt que de s’accuser, doivent maintenant s’unir et travailler ensemble pour régler ces crises et empêcher que le monde ne s’effondre.