Administrateur et programmateur de salles de cinéma durant presque toute sa carrière, Roland Smith a utilisé en 1963 l’expression « cinéma de répertoire » pour décrire une rétrospective d’Ingmar Bergman. Passée dans le langage populaire, l’expression est de nos jours utilisée pour parler des films qui ne sont pas destinés au « grand public ». Aujourd’hui distributeur de films en salles et à la télévision, il détient les droits des premiers films de Gilles Carle et de Jean Pierre Lefebvre, ainsi que de plusieurs films de Denys Arcand. Il a été décoré de l’Ordre des arts et des lettres du Québec en 2024.